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11 novembre 2016 à 21 h 57 min #9676ActionCollectiveParticipant
Bonjour à tous,
Comme un grand nombre d’entre nous, j’ai été floué par les beaux discours d’Unilend.
Heureusement, grâce à l’excellent travail de Mathieu, les pages de crowdlending.fr regorgent des nombreux problèmes de ce site :
– des défauts en pagaille (http://www.crowdlending.fr/forums/sujet/deja-beaucoup-de-defaillances/)
– des déclarations du dirigeant qui laisse rêveur aujourd’hui (revoir la vidéo ici même de Nicolas Lesur, avec le recul c’est édifiant !)
– des statistiques bidonnées (d’ailleurs elles ont changé il y a peu et sont toujours aussi contestées : http://www.crowdlending.fr/forums/sujet/rendement-pour-les-preteurs/)
Malheureusement, j’ai cherché mais je ne trouve pas de possibilité d’action collective. Par contre, il y a des autorités de tutelle et nous pouvons exercer collectivement une pression pour que ce type d’activité ou l’on fait prendre des risques énormes à des gens sans avoir aucun professionnalisme sur les dossiers est inacceptable.
L’idée est que :
1) tout ceux qui veulent que ce type d’acteur soit enfin minutieusement contrôlé se plaigne auprès de l’ACPR. J’ai trouvé la page sur Internet : la voici :
<div></div>
<div>https://acpr.banque-france.fr/protection-de-la-clientele/dans-quels-cas-et-comment-contacter-lacpr.html</div>
2) chacun partage ici des éléments matériels (mails de réponse, info sur le site, déclarations publiques, etc… ) des réponses mails erronés, et toutes les fautes commises par Unilend pour les mettre devant leurs responsabilités.Il semble que personne ne veuille nettoyer le secteur (malgré les dérapages encore plus gros comme net-financement) et pourtant les pages de ce site montre qu’Unilend conduit beaucoup de monde à des pertes colossales. A nous d’agir !
12 novembre 2016 à 11 h 49 min #9678darkbaderParticipantJe comprend tout à fait que tu ne sois pas content d’unilend. C’est aussi mon cas et j’approuve tout ce que tu mets en avant. Quand j’ai commencé prêter en Février 2016, j’ai finalement eu la chance de me rendre compte que cette plateforme est merdique au bout de 6 projets (le seul bénéfice de l’autolend est de m’avoir fait fuir). Pour l’instant, aucun n’a fait défaut.
Par contre, je pense que c’est peine perdue pour une action collective. J’avais posé la question pendant l’interview par Matthieu de Gregoire Dupont, le secrétaire général de l’ORIAS. Il y avait un thème sur « est-ce-que les plateformes font bien leur travail ? » ce qui m’a incité à poser la question « est-ce-qu’avec tous leurs défauts, unilend et finsquare font bien leur travail ? ». Et, en gros, « tant qu’elles respectent les lois, ça suffit ! OSEF les défauts, si une plateforme ne vous plait pas, allez voir ailleurs ». Je caricature la réponse mais tout est au lien ci-dessous :
Dans le principe, cela part du fait que si une plateforme fait de la merde, les prêteurs s’en détourneront et elle coulera. Sauf que, malheureusement, l’esbrouffe unilend fonctionne. Je n’ai pas à chercher bien loin. Il y a 20minutes, je vois :
Le chiffre de la semaine
2 505
Vous avez été 2 505 à prêter au projet clôturé samedi. Vous n’aviez jamais été aussi nombreux à financer un projet. Vous êtes plus que jamais la communauté de prêteurs la plus active de France !Depuis que Lendix les a écrasé, ils se raccrochent à ce qu’ils peuvent pour se faire passer pour les n°1. Et, c’est là où on voit que d’un côté, on a Olivier Goy, fondateur et ancien de 123venture et nicolas lesur un marketeux (on peut faire aussi le parallèle avec le trio de kisskissbankbank qui font parti des précurseurs du crowdfunding en france). Unilend est pourri à la base parce que son fondateur a plus accès son discours sur du vent que sur une vision claire de ce que doit être le crowdlending.
En plus, on t’affiche que : « Prêter présente un risque de non-remboursement: répartissez bien vos prêts et ne prêtez que de l’argent dont vous n’avez pas besoin immédiatement. » Donc ils se couvrent et n’hésiteront pas à te dire « on t’avait prévenu alors va te faire f… ». On notera d’ailleurs encore que, pendant que Lendix, lendopolis et pretup le mettent sur toutes les pages de leur site, unilend en limite la publication à la page du projet. Donc, il faut créer son compte pour voir l’avertissement.
Bref, je comprend tes griefs contre unilend et la colère due aux pertes que tu as subi sur cette plateforme mais je pense qu’il est clairement illusoire d’obtenir quelque chose en justice.
13 novembre 2016 à 0 h 43 min #9681JacquouilleParticipantPersonnellement, j’avais réussi il y a 2 ans à faire retirer par Unilend une demande sur une SARL dont le gérant avait une affaire personnelle en cours de liquidation judiciaire et leur avait caché. Je me suis alors aperçu que leur process de contrôles présentait des failles.
Ils sont bardés juridiquement. Il faudrait prouver qu’ils sont complices d’escroquerie, et leur éventuel procès ne porterait que sur le projet concerné, pas sur les autres.
En placements financiers, il y a toujours eu des produits, des banquiers, des conseillers plus risqués que d’autres.
On ne peut pas attaquer M. Lesur sur son look …
Seule solution, les boycotter.
14 novembre 2016 à 0 h 01 min #9683SmartWatchParticipantJe rejoins le discours de @darkbader mais même s’il n’y a pas de recours direct juridique je trouve l’initiative très intéressante car elle va nous permettre de demasquer le vent derrière les discours.
Car si nous sommes plusieurs à nous plaindre sur ce site de l’ACPR, ils ne pourront pas l’ignorer, et le jour ou plusieurs centaines d’épargnants seront lésés ils ne pourront pas dire que les informations n’existaient pas !
Car malheureusement, je ne rejoins pas l’avis de @Jacquoille (toujours pertinent par ailleurs! 🙂 : les boycotter ne suffira jamais, il y a des centaines de milliers d’épargnants en France à « arnarquer ». Qu’une poignée d’entre nous les boycottent n’arrêtera rien. Et certainement pas d’autres de se faire avoir.
Par contre, nous sommes plusieurs à avoir vu des erreurs enormes sur leur process d’acceptation (comme @Jacquouille), à avoir lu ou entendu des énormités sur les taux de rendement promis par les dirigeants, ou avoir vu des chiffres très suspects dans leur page statistiques, bref, nous sommes assez nombreux pour dénoncer les problèmes auprès des autorités. Si elles n’interviennent pas, ce sera aussi chauds pour eux de n’avoir rien fait EN SACHANT (elles ne pourront pas dire « on ne savait pas »).
Et si ça ne suffit pas, nous pourrons sur cette base alerte des associations de consommateurs. En voyant ces pages, elles sauront que tout ceci est réel. Et si ça ne suffit pas, ces gens ont des actionnaires d’après leurs pages internet, on peut aussi se plaindre auprès d’eux. Bref, l’impunité ne devrait pas être permise.
14 novembre 2016 à 11 h 00 min #9689MwyParticipantje rejoins @Jacquouille. Seule solution : le boycott.
Pour mener des actions autres, et espérer les voir aboutir, il serait bon que l’on se regroupe au sein d’une structure pouvant nous représenter, nous et nos doléances.
14 novembre 2016 à 12 h 34 min #9691JacquouilleParticipantLe boycott peut être collectif ; encore faut-il avoir un poids suffisant pour faire du lobbying auprès de la presse et des conseillers financiers.
Or sur les sites financiers ou les revues économiques, on ne parle que trop peu du crowdlending et quasiment pas du risque encouru, car les encours sont epsiloniens par rapport aux grands supports de placement (PEA, Ass.-vie, immobilier).
Je crois que lorsqu’on investit, on se renseigne sur le produit. Aujourd’hui, il y a des gens qui proposent des placements en diamants. Ces plateformes sont-elles interdites ? Non.
Si on veut faire du crowdlending, le site de Mathieu est facile à trouver. Sinon, c’est comme au casino, notamment avec l’autolend.
Mettre son argent chez Unilend, c’est faire un mauvais placement comme choisir une action en bourse qui va dégringoler.
Notre communauté doit être plus forte et plus nombreuse si nous voulons être entendus.
16 novembre 2016 à 22 h 50 min #9718ActionCollectiveParticipantVous avez raison : nous ne sommes pas assez nombreux, mais c’est justement pour cette raison que le boycott ne fonctionnera pas.
Et si nous, qui sommes les premiers concernés, ne faisons rien, qui le fera ?
Et malheureusement, le crowdlending bénéficie de l’image favorable de l’économie collaborative et du crowdfunding en général, contrairement aux autres investissements (diamants, et autre produits exotiques) : il va donc attirer d’autres épargnants avant qu’il ne se passe quelque chose. C’est pour cette raison qu’il faut agir et dénoncer les pratqiues douteuses aux autorités : 1, 2, 5, 10 remontées sur le site de l’ACPR et ils ne pourront pas dire qu’ils ne savaient pas et ils seront obligés d’aller jeter un oeil attentif.
Bref, aujourd’hui le seul à nous permettre de dire les choses c’est @Mathieu grâce à l’énorme travail réalisé pour crowdlending.fr. Mais ça ne suffit pas, soit on continue à se plaindre entre nous et à les boycotter mais d’autres se feront avoir. Soit nous agissons : alors agissons ! 😉
Je pense que c’est la seule manière d’éviter des accidents graves. Collectons ici les erreurs, les analyses foireuses, les chiffres bidonnés, les réponses mails, les déclarations du dirigeant trompeuses (dont l’interview ici même !). Bref, agissons !
17 novembre 2016 à 10 h 10 min #9722MwyParticipantTu intimes d’agir, mais en quel nom ?
Imaginons que l’on se rassemble pour cette action précisément, cela fera quoi ? 10 ? 20 ? allez, 25 personnes tout au plus, et encore.
Et comme dit plus haut : l’ACPR lèvera peut être la tête pour regarder des revendications … et rien n’en sortira car comme dit plus haut : les prêteurs sont avertis du risque qu’ils courent, et qu’actuellement aucune plateforme ne mets de garantie sur la solidité de ses projets. Les défauts existent, les soucis de communication aussi, les problèmes de chiffres bancals aussi, mais rien qui n’entraînera de suites sérieuses et cette action finira simplement par faire « pschit » et tout ceci n’aura eu pour tout effet que de rendre d’éventuelles actions futures plus compliquées car les gens ne feront même plus l’effort de bouger individuellement.
Dans un marché ou le prêteur n’est considéré que comme un utilisateur de service, un quidam moyen sans nom et sans importance, vouloir faire une, 10, 20 ou 100 actions individuelles me semble peine perdue.
Il en va de même pour le boycott, comme tu en as fait la remarque. Boycotter chacun de notre côté ne sert probablement à rien à haute échelle, sauf à exprimer un choix personnel.
En revanche, se regrouper au sein d’une même entité et porter de façon construite et coordonnée un message, une action, une volonté, cela a bien plus d’effet.
100 personnes qui parlent chacun en leur nom propre c’est une cacophonie, et ils ne seront au final pas plus audibles qu’un seul d’entre eux.
100 personnes qui parlent d’une même voix, à l’unisson, c’est un choeur et ils peuvent représenter bien plus qu’eux-même.17 novembre 2016 à 17 h 26 min #9730rino33ParticipantCe forum est formidable car on peut y lire, la plus part du temps des choses très intéressantes que j’aurais aimé écrire.
Mais parmi les milliers de prêteurs en crowdlending, combien le connaisse ? Très très peu.
Depuis plus d’un an je boycotte le crowdlending (pour moi : Unilend et Finsquare). En effet je n’ai pas les qualités pour analyser les risques qui y sont liés.
Je vais perdre à minima 10 % de mon investissement.
Alors, si une action collective contre Unilend pouvait limiter la casse, je serai partant…..
Partant au moins pour faire nombre car mes compétences sont très limitées.
Malheureusement nous sommes trop éparpillés dans la France pour faire un bloc efficace.
Même si à notre époque on fait beaucoup à l’aide du web, le contact physique, humain, existera toujours (voyez nos politiques, ils ne font que ça : serrer des mains).
Si déjà régionalement on pouvait créer et se réunir en petits clubs.
Je constate qu’étant Girondin je ne connais pas réellement Jacquouille qui est Périgourdin.
Nous sommes à moins de 100 km, et combien d’autres entre ?
Qu’en pensez vous ?17 novembre 2016 à 19 h 48 min #9732HS1ParticipantAh j’ignorait qu’il y avait des crowdlendeurs du sud ouest ,je propose qu’avec Jacquouille et ce avant les fetes vous montiez un site sur lequel nous,malheureux exclu de la gastronomie ,nous puissions commander foie gras ,confits ,vins mouelleux afin de boire et festoyer à la santé de Nico le passur !
17 novembre 2016 à 20 h 01 min #9733MathieuKeymasterMoi aussi je suis en Gironde … à bordeaux précisément 😉
18 novembre 2016 à 16 h 09 min #9750MwyParticipantC’est bien parce que l’on est nombreux et éparpillés que l’on a besoin de s’organiser et se centraliser autour d’une structure unique.
Et ce qui est sûr c’est que ça commencera petit, mais qu’une fois organisée, cette structure doit être armée pour communiquer et se faire connaître afin de faire jouer un effet boule de neige qui pourra enfin lui donner du poids.
Les organisations non gouvernementales, les fondations, les associations ça n’est pas de la génération spontanée. ça se construit d’abord à 3, 4 ou 5, puis viennent 10 personnes, puis 50, puis 100, puis 1000 …
Une chose est sûre, le seul mauvais choix c’est de ne rien faire et d’attendre que ça se fasse tout seul !
19 novembre 2016 à 15 h 55 min #9758Le GlaudeParticipantOn a beaucoup parlé de l’ « action de groupe », récemment introduite par le législateur dans le droit français.
Je n’ai pas suivi ça de près, mais a priori les prêteurs participatifs sont bien en position de « consommateurs » d’un service d’investissement fourni par la plateforme.
Par contre, le problème n’est peut-être pas suffisamment précis et stéréotypé pour se prêter à ce genre d’action. Il semble qu’il s’agisse plutôt d’un faisceau de négligences diffuses. Le lien de causalité entre ces négligences et le préjudice individuel subi par chaque prêteur n’est pas simple non plus.
Resterait de toute façon à trouver une association agrée de protection des consommateurs suffisamment motivée pour porter le fanion.
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 8 years par Le Glaude.
19 novembre 2016 à 23 h 36 min #9764ActionCollectiveParticipant@Mwy : je n’intime pas, je propose 🙂 Et je ne le propose qu’au nom de chacun, c’est-à-dire que chacun le fasse en son nom.
Je ne suis pas contre se regrouper autour d’une structure unique (surtout basé en Gironde, je saurai ou aller en vacances la prochaine fois 🙂 mais je pense que les 2 sont compatibles
1) se plaindre (chacun) à titre personnel auprès des autorités en les mettant en cause sur la base des informations communes que nous recenserons
2) se regrouper autour d’une structure
Je suis comme @rino 33 : je n’ai ni le temps ni les compétences d’analyser chaque dossier, j’ai été floué par les beaux discours et quand je vois les approximations, les dossiers foireux lancés sur la plateforme, je pense qu’Unilend n’a pas plus de compétences. Mais quand j’ai vu le lancement d’autolend et que les défauts continuaient et que nous ne faisions que nous plaindre entre nous pendant qu’ils péroraient dans leur emails à se prétendre dans la réussite permanente, je me suis dit qu’il fallait passer à l’action.
@LeGlaude : est-ce que tu aurais plus d’informations sur l’action collective en France, ce que j’ai trouvé sur Internet n’était pas concluant ?
21 novembre 2016 à 12 h 20 min #9803MwyParticipant@ActionCollective mes excuses, tu proposes … j’avais grossi le trait en utilisant le verbe intimer 😉 …
J’ai beau être d’accord avec ton idée de dénoncer le discours trompeur d’Unilend, je suis plus que sceptique concernant le résultat (pour les motifs invoqués plus haut).
Faisons ça, mais n’en attendons pas grand chose et surtout que cela ne nous empêche pas de travailler à nous munir d’une autre voix 🙂
21 novembre 2016 à 19 h 38 min #9833JacquouilleParticipantToute action judiciaire contre Unilend sera peine perdue.
Mais pourquoi pas une pétition sur change.org ? Attention, toutefois, sur ce que vous écrirez sous peine de plainte en diffamation de la part d’U.
21 novembre 2016 à 20 h 38 min #9834Le GlaudeParticipantJe rejoins la prudence de Jacquouille. Comme les plateformes n’ont pas une obligation de résultat, même s’il y a un ressenti négatif sur un certain nombre de loupés qui auraient pu être mieux gérés, il serait vraisemblablement assez difficile de caractériser des fautes suffisamment nettes, objectives et graves pour engager la responsabilité d’une plateforme.
Mais si j’ai bien suivi, l’idée serait moins de rechercher la réparation d’un préjudice que de se plaindre auprès des autorités de contrôle. Dans ce cas il n’est pas nécessaire que ces plaintes soient nombreuses. Il faut plutôt qu’elles mettent en évidence des faits précis et indiscutables, et se limitent essentiellement à cela. Sinon, effectivement, gare au reproche de diffamation. Il ne s’agit pas d’être sûr de son bon droit, mais de pouvoir le prouver. Personnellement je n’ai pas une compétence suffisante pour me convaincre par moi-même du bien-fondé de ce qui a pu se dire sur ce forum, même si je fais confiance à ses participants, et leur sais gré des informations qu’ils partagent.
Enfin, même en supposant que des manquements soient reconnus par l’autorité de contrôle et jugés sérieux, ce n’est pas pour autant que s’ouvrirait la voie d’une réparation des pertes nées des défauts correspondants.
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 8 years par Le Glaude.
4 décembre 2016 à 22 h 41 min #9944ActionCollectiveParticipantExactement @LeGlaude, l’idée est moins de rechercher la réparation d’un préjudice que de se plaindre auprès des autorités de contrôle. Nous n’avons donc pas besoin de d’être nombreux.
Je regarde actuellement dans tout mon historique de mails et des impressions d’écrans que j’avais réalisé de projets que je trouvais « douteux » (ou avec des informations erronées). Je devrais pouvoir partager quelques informations d’ici la fin d’année 😉
N’hésitez pas si vous vous aussi vous avez des informations à partager 🙂
11 janvier 2017 à 17 h 34 min #10270hd gasnierParticipantbonjour,
Je pense qu’une action judiciaire contre Unilend est vouée à l’échec.Ils ont dû se blinder dans ce domaine.Mais qu’est ce qui empêche les prêteurs concernés par un projet en défaut de mener une action collective contre l’emprunteur défaillant en se passant du pseudo service de recouvrement de la plateforme.Nous avons des contrats de prêt écrits qui engage l’emprunteur.Pour cela ,il ne faut pas attendre qu’il ait déposé le bilan.Ca a été le cas de Shala pendant des mois et c’est encore possible pour LDM etCGMOD11 janvier 2017 à 18 h 41 min #10271JacquouilleParticipant@hd gasnier
Unilend s’est blindé aussi de ce côté-là.
Dans les CGV d’Unilend, l’article 15-2 dit ceci :
Afin d’éviter toute interférence, le Prêteur s’engage à ne
pas contacter les Bénéficiaires. De manière générale, le Prêteur s’interdit tout acte personnel ou par l’intermédiaire d’un tiers, et en particulier l’acceptation de tout moratoire, dès la transmission, suite à la survenance d’un Cas d’Exigibilité Anticipée, du dossier par Unilend au Recouvreur.11 janvier 2017 à 19 h 54 min #10272thierry_jParticipantLa seule action efficace est de retirer ses billes, ce que font la plupart d’entre nous. Pour ma part, j’ai encore des échéances jusque fin 2019, çà va être long…
J’ai du mal à comprendre l’autisme de cette plate-forme, qui s’entête avec ses choix à contresens, et qui va droit dans le mur: absence de communication, autolend, enchères…
La sanction se voit dans les chiffres de Mathieu.
14 janvier 2017 à 0 h 23 min #10284LJParticipantUne action collective me parait vaine : je ne constate aucune faute pouvant être condamnable chez Unilend.
Vente de rêves, légèreté des dossiers, sélection parfois aberrante, manque de communication, mépris du ‘client’, on peut avoir beaucoup de griefs, il n’en reste pas moins qu’ils sont dans les clous : tout cela ne justifie pas une plainte.
Je pense que c’est encore trop tôt, avec 2 ans et 74 prêts, un TRI de 3.88 j’estime mon rendement net à 0.06%. Le rendement AV sur la période est très supérieur en fond Euro, mais pas en UC (moyenne cac40), bref je ne suis pas pour une action collective.
15 janvier 2017 à 16 h 27 min #10303PascalParticipantJe suis d’accord avec @LJ je ne constate aucune faute pouvant être condamnable chez Unilend.
En ce qui me concerne je n’ai pas trop à me plaindre au niveau du rendement avec un rendement net depuis juin 2015 de 1.79%
avec un investissement dans 37 dossiers dont :
un dossier CGMOD que j’ai considéré comme clôt (c’est à dire sans espoir de toucher des remboursements) j’ai pris la totalité de la perte dans mon calcul de taux net
un dossier en retard (Frederic Escoffier) dont j’ai encore un espoir de récupérer quelque chose
3 dossiers terminés sans incident (Le Saumon de Piriac, Giglam Conseils et sur 2017 Cycles Jacky)
32 dossiers encore en cours de remboursements
Je suis persuadé que chez Lendix on aurait déjà récupéré Frederic Escoffier (Vente du commerce sans remboursement du prêt Unilend) et on aurait au moins des nouvelles de CGMOD qui visiblement est toujours en activité et qui ne paie plus depuis le mois de mars 2016.
Nous n’avons aucune nouvelle de ses dossiers ce qui est inadmissible
16 janvier 2017 à 19 h 19 min #10329BZH35Participantchacun a ses propres expériences , en ce qui me concerne juste un loupé récent Parcome, par contre Lendopolis plateforme bien notée , 3 ème défaut annoncé avec Genhome Décontamination , après Inovip et Topique
alors action contre Lendopolis !
Non, nous n’avons que nos yeux pour pleurer et ce Forum pour faire remonter nos infos .
quelque soit nos connaissances , bancaires , entreprises, nos précautions , le risque est réel et nous sommes les seuls à le supporter.
D’ou se blinder sur les prêts , en montant pas plus de 100 euros, en durée 36 mois maxi, le mieux 24 et viser des secteurs a peu près sûrs, santé, notaires , ou des grosses entreprises , le reste c’est la bouteille à l’encre !
17 janvier 2017 à 10 h 32 min #10330thierry_jParticipant@BZH35: la question de ce topic n’est pas le risque de défaut, on sait tous qu’il existe, sur toutes les plate-formes.
La différence entre Lendopolis et Unilend, est que Lendopolis communique de façon transparente et défend les intérêts des prêteurs, dans la mesure ce qu’il est possible de faire (par exemple prise en charge des déclarations de créances).
Unilend se moque royalement des prêteurs. C’est là le problème, même s’il n’y a rien d’illégal.
Malgré ces défauts (il est vrai que personnellement je n’ai pas investi sur ces dossiers), je maintiens ma confiance en Lendopolis.
17 janvier 2017 à 18 h 40 min #10346BZH35ParticipantBonsoir,
cher thierry tu devrais aller voir chez Lendix la façon dont ils traitent les défauts et là tu t’apercevras ce que doit faire une vraie plateforme et non pas simplement informer du défaut et envoyer un mail pour déclarer ses pertes comme chez Lendopolis.
17 janvier 2017 à 21 h 44 min #10350darkbaderParticipant@BZH35
J’ai pu constater que la gestion du recouvrement chez Lendopolis est tout à fait correct avec le projet Breizh Cereales (qui suis son cours normal désormais). Certes, la tonalité du discours est beaucoup plus conciliante que chez Lendix (Ce qui se comprend aussi puisqu’ils gèrent les merdes de Finsquare) mais ils assurent.HMG est actuellement en difficulté mais une régularisation est prévu au plus tard ce vendredi.
Mais peut-être y-a-t-il des projets plus problématiques mais il me semble faux de mettre unilend et lendopolis dans le même tonneau car le recouvrement est fait de manière convenable (du moins sur les incidents que j’ai subi jusqu’à maintenant)
25 mars 2017 à 22 h 36 min #11225ActionCollectiveParticipantHeureusement, UFC Que Choisir a choisi d’être actif sur ce sujet et de rentrer dans le détail : https://www.quechoisir.org/action-ufc-que-choisir-financement-participatif-alerte-sur-les-risques-et-abus-n24530/
En esperant que l’association alerte les autorites de controle pour qu’elle SANCTIONNE ces comportememnts defaillants (et ne fasse pas un simple rappel à l’ordre)
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