Pour moi, les deux.
Les obligations sont des valeurs mobilières classiques et les pertes seront déductibles, ou reportables 10 ans, de plus-values réalisées par ailleurs (mais encore faut-il avoir des plus-values mobilières, sinon, déductibles de zéro, ça fera zéro !)
Concernant les prêts, les pertes à hauteur de 1000 Euros par prêt, sont déductibles, ou reportables 5 ans, d’intérêts perçus.
Dans ces deux cas, il faut attendre le côté définitif de la perte… comme il ne s’agit pas de produits côté, on ne peut pas les vendre et constater rapidement une perte, il faut attendre la fin de la liquidation judiciaire.
Les bons de caisse ne donne pas droit à déduction.
Voici ce que j’ai compris de notre belle et simplissime législation ! ;o)
(si je me suis trompé sur un point, n’hésitez pas à apporter des précisions)