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BertyParticipant
Encore une fois, je ne peux que réitérer la remarque faite il y a quelques mois.
Aujourd’hui comme hier, vos projets ne démarrent qu’à la fin de la période de collecte, même si les fonds ont été collectés rapidement. La conséquence c’est que de nombreux prêteurs attendent les derniers jours de collecte pour éviter d’immobiliser des fonds sans rendement.
De nombreuses plateformes tel Credit, Prexem ou Bolden parviennent à démarrer les projets sitôt les fonds collectés. Je ne comprends toujours pas les contraintes techniques (contrat signé avec des dates figées) évoquées lors de notre précédente conversation.
Je suis sûr que vous finirez par résoudre ce problème et parviendrez à réduire les durées de collecte, d’autant plus que je n’ai toujours aucun défaut sur 20 projets dont le premier remonte à plus d’un an 😉
BertyParticipantBonjour Monsieur MICHEL et merci pour votre réponse.
Si je comprends la logique que vous défendez, vous me permettrez de ne pas la partager, pas plus que la communauté de prêteurs sur ce forum puisque, de notre point de vue, il y a bien à ce jour 12 projets Pretup en défaut de paiement. Ceci ne vous aura sans doute pas échappé étant donné que vous semblez suivre attentivement les discussions et évolutions sur ce forum, ce dont je vous remercie.
Puisque nous sommes dans la transparence, vous pourrez sans doute m’expliquer une autre information que vous affichez sur le tableau de bord.
Pour ce qui me concerne, dans la partie Récap, vous indiquez :
Taux de rentabilité brute (hors défauts) : 5,96 %
et un
TRI (net des défauts)(7) : 5,05 %
Avec plus de 10% de mes projets en défaut, j’ai du mal à croire à un écart aussi minime entre le TRB et le TRI et je ne trouve pas l’explication à laquelle le 7 en indice renvoie.
Pourriez-vous m’expliquer comment vous calculez le TRI ?
Merci d’avance.
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 7 years, 4 months par Berty.
7 juin 2017 à 21 h 43 min en réponse à : Agrégateur : Projets manquants ou statuts à modifier #12474BertyParticipantPour info et action de l’un des modérateurs, Unilend nous a informés aujourd’hui que Transports Midi-Pyrénées a été mis en RJ en date du 29/05/2017.
Les prêteurs n’ont rien à faire… la société en charge du recouvrement se charge de tout 😉
BertyParticipantCredit.fr à qui j’ai parlé ce matin considère n’avoir que 2 défauts pour le moment puisque la dernière échéance Envel’Imprim a été réglée.
Techniquement ils n’ont pas tort mais dans le cadre de la procédure de sauvegarde je ne vois pas comment la prochaine échéance serait réglée…
BertyParticipantCertainement pas fan de Lendopolis où j’ai 1 projet en RJ et 2 autres en retard (dont Breizh Cereales qui fait tout pour ne pas être défaillant et n’est pas une arnaque à mon avis) pour 52 prêts sur cette plateforme.
Pas plus fan de Unilend et encore moins de PretUp qui, dans mon portefeuille, remporte la palme…Je voulais juste rappeler un fait qui, en son temps, avait été apprécié.
Je reste très pragmatique et suis de plus en plus méfiant même si pour ce qui me concerne, pour le moment, le bilan est positif avec un retour supérieur à 5% brut toutes plateformes confondues. Le temps joue malheureusement contre moi 😉
BertyParticipantUne petite précision @BZH35 concernant Lendopolis. Cette plateforme, qui enregistre de nombreuses défaillances ces derniers temps, avait en septembre 2016 assumé la fraude qu’ils n’avaient pas décelé sur le projet USLU et remboursé tous les prêteurs.
Par ailleurs, @HS1, GwenneG et L’ACB organisent une petite soirée crowdfunding à Paris le 7 juin prochain.
Si tu n’es pas trop loin et disponible tu pourrais y passer. Ils précisent que : « La soirée sera conclue par un buffet autour de produits 100% Breizh ! ».
Peut-être un moyen de récupérer en nature une partie de ton prêt 😉
BertyParticipantIl y a de bonnes raisons à ce que les réactions soient différentes. Sur plus de 50 projets avec Lendopolis, je ne suis impacté que par DAOL Habitat qui n’est pour l’instant qu’un retard…
Comme toi, je n’ai pas de nombreux défauts sur Unilend eu égard aux nombres de projets (2 procédures collectives et 2 retards sur plus de 90 projets).
En revanche, j’ai 6 projets en difficulté dont 2 PC avec Pretup (sur 69 projets).
Malheureusement, les défauts de paiement sont inévitables en matière de prêts, d’autant que, comme déjà souligné, le Crowdlending semble (sans surprise) être la première variable d’ajustement pour les dirigeants. Il serait bon d’envisager la mise en place de sûretés par les dirigeants.
Pour revenir à Lendopolis, il faut se souvenir qu’ils ont parfaitement assumé USLU en mai dernier, en remboursant les prêteurs de leur poche. Aucun autre exemple semblable ne me vient à l’esprit malgé plusieurs projets dont les remboursements ont cessé dès les premiers mois…
14 avril 2017 à 4 h 42 min en réponse à : October limite à 100 € les prêts pour les projets en dessous de 250 000 € #11673BertyParticipantExcellente initiative même si, pour ceux qui sont critiques, LBTP est parti en 20 minutes mais avant cela serait parti en 2 minutes. En tout état de cause, plus de « petits prêteurs » ont pu y participer.
Félicitations pour cette décision.BertyParticipant@Ines de ClubFunding
Il est bien évident que le montant du ticket d’entré est un choix stratégique de chaque plateforme.
Le choix que vous avez fait implique, comme vous le soulignez, un patrimoine très significatif si l’on vise la diversification avec un objectif qu’aucun prêt ne représente plus de 1% de la somme globale investie.
Pour ma part, j’ai diversifié sur près de 400 projets dans la première année de Crowdlending et m’en félicite. Inutile de dire que le ticket moyen n’est pas de 500 euros.Par ailleurs, même si vos statistiques indiquent toujours 0 défauts, ce dont nous vous félicitons, et un taux d’intérêt moyen par projet de 9,6% (ce qui ne veut rien dire d’autre que la moyenne des taux proposés lors de la présentation du projet), je note aussi que le volume d’activité que vous mettez en avant (Plus de 4M€ financés au 1er semestre 2016) date un peu. Ceci laisse à penser qu’une mise à jour ne serait peut-être pas à l’avantage de votre plateforme.
Enfin, le choix stratégique que vous avez fait est peut-être intéressant pour Clubfunding mais certainement pas pour les prêteurs. En effet, il semble que depuis votre création vous ayez présenté 25 projets, soit un projet par mois. En arrondissant à un taux moyen de 10% avec pour hypothèse une durée moyenne de 24 mois, cela représente environ 320 euros annuels d’intérêts.
Sauf à garantir qu’il n’y aura jamais aucun défaut, ce qui est contre nature avec cette activité, vous ne permettez pas la diversification qui mettrait les prêteurs à l’abri.Je dois tout de même souligner la « prise quasi-systématique de sûretés auprès des emprunteurs » que vous proposez même si cela n’est pas une garantie absolue.
BertyParticipantLe face à face et la vidéo conférence ne sont pas exclusifs l’un de l’autre et aucune technologie ne remplace avantageusement l’humain 😉
BertyParticipantExcellente idée Mathieu!
Je suis partant pour Paris.28 mars 2017 à 9 h 51 min en réponse à : A-t-on besoin de 4 ans pour juger la qualité de sélection des plateformes? #11295BertyParticipant@HS1
Relater des faits sans les dénaturer n’est pas nuire à l’image de quelqu’un et je serais curieux de voir une plateforme suspendre mon compte pour des échanges factuels entre prêteurs.Même s’il y a une telle clause dans leur contrat, il ne faut pas oublier qu’il s’agit d’un contrat d’adhésion et que la relation plateforme/prêteurs relève du Code de la consommation et du Code monétaire et financier, deux livres de chevet qui veillent à la protection des parties faibles que sont les prêteurs en l’espèce.
28 mars 2017 à 9 h 00 min en réponse à : A-t-on besoin de 4 ans pour juger la qualité de sélection des plateformes? #11292BertyParticipant@HS1
Entièrement d’accord avec toi qu’il ne devrait pas falloir 4 ans pour juger de la fiabilité et des capacités de sélection de projets d’une plateforme.
La méthode que tu présentes a l’avantage d’être simple à un détail pret : difficile de savoir si P* et P** correpondent respectivement à Pretup, Prexem, Pretstory, Pretgo ou qui sais-je encore…Je n’ai d’ailleurs toujours pas compris pourquoi les noms des plateformes et projets sont « masqués » sur ce forum.
Si l’on s’en tient aux faits, il n’y a aucune diffamation et je doute que quoi que ce soit puisse arriver à quelqu’un qui posterait des infos sur ce forum dont l’échange de points de vue est précisément la raison d’être.BertyParticipantIl n’y a pas de science exacte en matière de prêt en général et encore moins en matière de prêt participatif.
Par ailleurs, je sais que la communauté de prêteurs sur Crowdlending n’est pas tendre avec Unilend mais, pour ma part, j’ai beaucoup plus d’impayés sur PretUp (5 projets sur 68 en 10 mois) que sur Unilend (2 projets sur 86 en 13 mois).BertyParticipantBeau geste de Prexem qui souligne l’importance du choix des plateformes pour les prêteurs!
Voyons si PretUp prend la même décision pour ce qui concerne le prêt de 31000 euros octroyé en Août 2016 et pour lequel il restait 18 échéances 😉BertyParticipantBonjour Monsieur Michel,
Merci pour votre réponse et les informations relatives à l’assurance Gan-Groupama.
Pour information, si vous êtes effectivement les seuls à proposer une assurance sous cette forme, une plateforme concurente propose un fond de protection sur chaque projet qui est activé plus simplement que l’assurance et qui revient sensiblement au même.Par ailleurs, eu égard au nombre de défauts de paiements que le prêteur que je suis a pu constater sur votre plateforme, à savoir 5 projets sur 68 souscrits en moins de 10 moins, cette assurance ne semble pas superflue.
Les défauts de paiement sont dans la nature même de toute forme de prêt, a fortiori les prêts participatifs qui, en France, ne sont pas assortis de sûreté. Je pense qu’il y a tout de même un effort de sélection par la plateforme attendu par les prêteurs.
BertyParticipantAvant de m’engager sur ce projet j’avais vérifié que la caution était bien de 100K euros et non de 50% du CRD, ce qui m’a été confirmé par WSB.
Par ailleurs, pour ce qui concerne le formalisme autour d’une caution, il est moins important lorsque l’acte de cautionnement se fait entre professionnels.La caution n’est pas synonyme de risque zéro mais c’est certainement une raison supplémentaire pour les dirigeants d’honorer leurs engagements.
BertyParticipantAu regard du communiqué de presse d’Orange la semaine dernière « Orange emprunte sur le marché obligataire 750 millions d’euros à 6,5 ans avec un coupon de 0,75% et 500 millions d’euros à 10,5 ans avec un coupon de 1,50% » il est dificile de ne pas dépasser une telle rentabilité avec le Crowdlending.
Au moment de fêter ma première année en tant que prêteur et avec un peu plus de 400 projets, j’ai la chance de compter les défauts de paiement sur les doigts d’une main. Cependant, le temps joue contre les prêteurs et je sais que ce nombre augmentera avec le temps 🙁
A ce jour, selon les plateformes, la rentabilité se situe entre 5% et 7%, y compris la plateforme favorite de cette communauté (Unhappylend) dont je suis également en train de me retirer, même si c’est plus en douceur que certains.BertyParticipantMerci Mathieu pour cet article et pour nous tenir à jour des évolutions.
Dans tous les cas il faut attendre que la perte soit définitivement constatée donc peu probable d’avoir des déductions relatives à des minibonds sur les revenus 2017.J’ai deux questions sur ce sujet :
1/ Les obligations telles que celles suoscrites via WSB, Lymo et autres sont-elles des minibonds ou sont-ce deux produits différents ?
2/ Y a-t-il quelque part sur ce blog un tableau récapitulatif du type de financement par plateforme (i.e. quel support est utilisé par quelle plateforme) ?
MerciBertyParticipantConcernant les défaillances sur Unilend en 2016, j’ai pour ce qui me concerne 2 projets (Aero Services et RL & Partners) sur 83 souscrits entre le 12 février 2016 et le 31 décembre.
Un ratio qui pour l’instant reste raisonnable et me conforte dans une stratégie de « diversification à outrance » en espérant qu’une défaillance puisse ainsi ne devenir qu’anecdotique.
Avec la mise en place d’Autolend et le temps qu’il aura fallu à la plateforme pour fixer des taux planchers en fonction de la notation du projet, le taux moyen sur l’ensemble de mes projets n’est cependant que de 5,22 ce qui n’est pas merveilleux compte tenu d’une part du risque de défaillance futur sur les projets en cours et d’autre part des taux moyens obtenus sur les autres plateformes.BertyParticipantMerci @Mwy de remettre ce sujet en avant.
L’association sans but lucratif dite Loi 1901 est effectivement la structure juridique la plus simple et la plus logique à ce stade puisqu’elle ne nécessite qu’une simple déclaration en préfecture. Il convient cependant de souligner quelques points, même s’ils sont évidents pour certains :
– le fait que l’association ait une personnalité juridique n’empêche pas la responsabilité personnelle des dirigeants
– même s’il n’est pas très significatif il y aura très vite un besoin de financement, ne serait-ce que pour couvrir les frais bancaires, voire comptables si nous ne parvenions pas à dégager les ressources en interne à titre bénévole
– avant toute chose, le plus important est de définir l’Objet de façon à ce qu’il soit suffisamment précis mais assez large pour permettre de couvrir des activités auxquelles nous ne penserions pas dès le début. A titre d’exemple, si nous avons dans l’idée la « représentation des prêteurs » il me semble tout aussi important que les emprunteurs (qui peuvent être les mêmes) puissent adhérer à l’association et y trouvent un intérêt
– Le choix du nom de l’association est tout aussi important pour que celle-ci rencontre le plus grand succès possible et devienne ainsi réellement représentative
BertyParticipantLa question, qui est d’ailleurs valable pour toutes les plateformes, n’est pas de savoir s’ils vont rester sans défaut parce que la réponse est NON par nature.
La vrai question est de savoir combien de défauts seront observés et de quelle rentabilité nette (après défauts) les prêteurs pouront bénéficier. Cela dépend évidemment de la qualité de sélection par la plateforme et de la diversification par les prêteurs afin que le taux de défaut ne devienne plus qu’un facteur (aussi négligeable que possible) dans l’équation.
BertyParticipantPour ma part, j’ai plus de 30 projets sur Credit.fr depuis mon inscription fin Juillet et n’ai pour l’instant aucun défaut de paiement.
S’il est vrai que j’ai souvent vu des commentaires sur le forum qui se plaignaient du manque d’infos financières dans la présentation des projets, il est également vrai que, d’une part, la plateforme surveille les posts relatifs à leurs projets et qu’ils répondent lorsque des questions ou inquiétudes sont soulevées. D’autre part les analystes communiquent leur adresse mail personnelle et permettent de les interroger directement. Cela m’est arrivé deux ou trois fois et je reconnais qu’ils ont été très réactifs et aussi transparents que le manque d’infos de départ peut paraître opaque.24 septembre 2016 à 17 h 26 min en réponse à : Le recouvrement : quel degré d'implication des plateformes ? #9182BertyParticipantLe rôle actif ou pas de la plateforme est effectivement un critère important qui joue son rôle dans le choix des plateformes sur lesquelles les prêteurs décident d’être actif. Toute action dans ce sens (classement, comparatif, etc.) ne pourra qu’aller dans notre sens.
De la même façon, en amont du recouvrement, c’est à dire avant que les problèmes ne surviennent, le modèle économique de la plateforme et les « éléments de décision » qu’elle met en place ou pas doivent aussi être déterminants dans nos choix.
Si l’on pense bien entendu au modèle Lendix ou WeShareBonds qui prend une participation d’au moins 51% sur chaque projet, on peut penser qu’ils seront d’autant plus sélectifs sur les projets présentés. D’autres plateformes garantissent une partie des sommes prêtées ou offrent une assurance sur la personnes critique quant au succès du projet et donc à son probable remboursement.
Je saisi à nouveau cette occasion pour que nous invitions les plateformes à se rémunérer (pour l’essentiel) au fur et à mesure des remboursements et non pas dès la mise à disposition des fonds. Cela les encouragera à être plus sélectives et évitera les projets trop fragiles.
J’ai bien conscience que les plateformes ne sont même pas rentables aujourd’hui et que cela aurait un impact important sur leur cash flaw mais c’est à nous, acteurs essentiels dans le succès du prêt participatif de les inciter à aller dans la bonne direction… ou à s’éteindre si leur modèle ne nous convient pas.
BertyParticipantLa question qui vient naturellement pour Patrick est de savoir si un résident français (tant physique que fiscal) pourra s’inscrire sur la plateforme espagnole ???
BertyParticipantJ’avais le même message d’erreur qui était dû au bloquage de pub qui était actif sur mon navigateur.
Il faut soit le désactiver momentanément soit faire la demande en ligne depuis un autre navigateur qui ne bloque pas les pubs.
BertyParticipantIl y avait un lien sur le tableau de bord Unilend pour le faire en ligne il y a deux jours mais je ne le vois plus.
BertyParticipantD’accord avec etienne2803 et thierry_j
Unilend essuie les platres d’une fonctionnalité que beaucoup de prêteurs demandent et sur laquelle plusieurs plateformes réfléchissent à les en croire.
Pour ma part, j’ai sans doute eu la chance d’arriver un peu après les autres. Unilend a été ma première plateforme et je n’ai aujourd’hui qu’un seul défaut de paiement (RL & Partners) sur 68 projets depuis janvier 2016.
Le jour où Autolend a été mis en ligne, j’ai contacté Unilend pour leur dire que cela allait tirer les taux vers le bas et entraînerait des prêts à des taux sans aucun lien avec le risque. Il ne fallait pas être devin pour le comprendre. Il leur aura fallu de nombreuses semaines pour développer la grille qui est mise en place aujourd’hui.
Je suis personnellement adepte de la diversification et vise 300 à 400 projets par an, ce qu’aucune plateforme à elle seule ne pourra m’apporter (avant longtemps).
Chaque plateforme se targue de faire une sélection rigoureuse et c’est effectivement ce que l’on attend d’elles. Si j’ajoute une couche supplémentaire de sélection rigoureuse par dessus, je vais péniblement arriver à 40 ou 50 projets par an sans aucune garantie d’éviter un défaut de paiement…
Afin d’encourager les plateformes à partager le risque avec les prêteurs, j’aimerais que leur rémunération sur les projets se fasse sur la durée du projet plutôt qu’à la mise à disposition des fonds. Cela éviterait la tentation de présenter des projets douteux.
J’invite la communauté de prêteurs à inciter les plateformes à aller dans cette direction.
16 septembre 2016 à 11 h 43 min en réponse à : Collecticity : Allez vous prêter à des communes pour 2,25 % ? #9019BertyParticipantJe trouve que cette initiative est très intéressante… pour la plateforme.
En effet, si elle propose des taux réduits aux prêteurs, elle ne s’applique pas la même politique concernant ses commissions.
Etre rémunéré 2,25% sur 60 et voir la plateforme prélever 4% dès la remise des fonds me pose un problème. J’aurais compris si leur commission était réduite de moitié par exemple mais les fondateurs n’ont jamais dit qu’ils étaient des mécènes.
16 septembre 2016 à 11 h 34 min en réponse à : Les collectivités locales se lancent dans le crowdlending #9017BertyParticipantUne initiative certainement intéressante… surtout pour la plateforme
En effet, sur le projet en ligne, le taux proposé est de 2,25% pour une durée de 60 mois. Je comprends bien que le risque n’est pas le même qu’avec les PME et que les taux seront donc plus faibles.
J’ai cependant un problème quand la plateforme prélève 4%, c’est à dire un pourcentage identique aux autres plateformes, et toujours en début de financement comme cela se pratique.
Je pense que dans cette situation, une commission réduite de moitié serait la bien venue et surtout je réitère ma suggestion que les plateformes soient rémunérées au fur et à mesure des remboursements.
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