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mricnetParticipant
Sur Lendopolis, j’étais assez chaud au début, mais pour le moment c’est celle où je suis le plus malchanceux. J’ai 3 défauts (autant qu’avec Unilend mais avec 2 fois moins de projets financés) et à ce jour c’est la seule plateforme sur laquelle je suis en rendement négatif…
Alors, je suis désormais tiède. Comme pour les autres plateformes, il vont devoir démontrer leur capacité à aller chercher l’argent chez les emprunteurs.
mricnetParticipantJ’en fais parti aussi, je suis assez récent sur la plateforme avec 1800 euros prêtés, je ne sais pas si c’est super…
C’est probablement un test marketing.
mricnetParticipantIl est vrai que 100 euros était un peu élevé, mais 50 EUR c’est raisonnable. Franchement 30 ou 50 : un kebbab de plus ou de moins 😀
mricnetParticipant@jdbt je fais partie des confiants pas des méfiants. J’ai tendance à laisser d’abord la chance aux gens. Je mesure mes risques, je fais un choix et j’assume. Après si mes interlocuteurs foirent, je coupe et ciao bello.
Franchement, si Unilend ne redresse pas la barre sur le recouvrement et qu’ils n’annoncent pas rapidement de vraies réussites dans ce domaine, ils vont à leur perte. A ce stade, je ne pense pas que cette plateforme gagne de l’argent (gagner au sens de bénéfice). S’ils se plantent sur ce sujet ils auront investis pour développer la plateforme à fonds perdus…
En attendant leur «réveil» je n’alimente plus leur machine. Et franchement, je leur ai filé 15K, çà ne va pas loin.
wait and see.
mricnetParticipantEmail d’Unilend annonçant, avec «sa parfaite considération», le retard de LDM.
Unilend est en train de faire un énorme gâchis de leur business…
21 avril 2016 à 17 h 31 min en réponse à : Quelles sont vos techniques d’optimisation du taux ? #6875mricnetParticipantSuivi de mon post du 20/03/2016, 1 mois plus tard.
Un de mes projets en retard est tombé en défaut (recouvrement) : CGMOD. Et dessus j’ai fais une belle erreur (presque de débutant d’ailleurs), j’ai cumulé le risque en prêtant aux 2 projets, confiant sur le modèle de récurrence de ce type d’activité.
Et là je me prends une belle claque, mon taux de rendement, net de défaut, chute de 0.95 pts à 6.12%… A cette époque je n’avais pas encore minoré mon coef. d’investissement sur la plate-forme Unilend, alors j’ai pris plein phare !
Preuve que, même rationnel, nul outil n’est parfait. En effet, si nous considérons qu’un système de sélection de dossier, comme celui Unilend, comporte un biais et attire tous les loustics de la terre, le taux de défaut réel sera probablement très éloigné du théorique. Bref, ce n’est pas le sujet de ce Post, un autre fil est dédié aux performances d’Unilend 😀
mricnetParticipantJe ne suis pas concerné sur cette affaire, mais cela commence a faire beaucoup de casseroles pour Unilend…
Avec les questions d’argent, cela ne se joue que sur la confiance, si celle-ci disparaît «bye bye» Unilend !
Je pense qu’il est temps pour eux de mouiller la chemise et de trouver un système de garantie. A bon entendeur.
mricnetParticipantJe suis d’accord avec @jacquouille le système peut être intéressant à activer sur un projet digne d’intérêt. Sauf que, si simultanément, ils sortent un projet bancale, le système va enchérir aussi sur celui-ci !
Au final, je pense que le système Autolend va faire baisser les taux de prêt. A confirmer, je reste en observation.
20 avril 2016 à 23 h 52 min en réponse à : Interview de Frédéric Levy Morelle, CEO de Look&Fin #6848mricnetParticipant@mat je suis d’accord et merci de m’avoir laissé libre d’exprimer mon opinion. +1
mricnetParticipant@loikg tu as déjà plusieurs réponses de très bonne qualité plus avant.
Pour revenir sur le lancé de dé (ce qui est mon créneau étant issu du monde de l’assurance), plus tu vas lancer ton dé un grand nombre de fois et plus tu vas te rapprocher de la probabilité théorique de 1/6, alors qu’en le lançant que 4 fois, tu peux sortit 4 fois un 6 ou aucun 6…
Donc pour te rapprocher le plus possible du taux de défaut moyen sur ce type de prêt, il faut investir sur beaucoup de projets. Le seul problème c’est qu’il n’existe aucun historique suffisant sur le taux de défaut réel des entreprises qui empruntent sur les plate-formes de crowdlending.
Tous les chiffres annoncés par les plate-formes ne sont qu’une extrapolation des taux de défaut bancaire . Donc surprise 🙂
Bref, ce qu’il faut, c’est suivre les règles de bonne gestion de patrimoine : ne place que l’argent dont tu n’as pas besoin à court terme, affecte une partie raisonnable de ton patrimoine financier total (<5%), et diversifie tes investissements.
Have fun !
mricnetParticipantMME Daniella ASSOULINE, qui a monté sa nouvelle coquille W, a ouvert ses comptes de réseaux sociaux
Ainsi que les noms de domaine déposés par Ariel Marciano (ariel26@hotmail.fr) le 20/09/2015.
Plus récemment (13/03/2016), il y a une série de dépôt de domaines pour I
Peut-être que les clients potentiels de W et de I, dirigés par MM Assouline et Marciano, curieux d’en savoir plus sur ces gens, auront la plaisir de découvrir ici à quel oiseau ils ont à faire 🙂
16 avril 2016 à 20 h 11 min en réponse à : Interview de Frédéric Levy Morelle, CEO de Look&Fin #6700mricnetParticipantA 1000 euros minimum (ce qui est en théorie le maximum de prêt en financement participatif) je ne vois pas où est le concept de «crowd» là-dedans. Selon les stats de salaire.com, je fais partie des 5% de plus riches de ma ville qui est plutôt bourgeoise et je ne mettrai pas 1000 euros par projet sur la belle gueule d’un CEO de plateforme… alors les 95% restants…
Quand aux 3 sélectionnés de Crowdlending.fr qui auront l’immense privilège de prêter 1000 euros par projet… c’est un peu comme les feu offres «VIP» de Finsquare, quoiqu’il advienne je passe mon tour, c’est contre ma religion 🙂
mricnetParticipantmerci @wislvlerhill pour tes recherches.
Cela fait tout de même beaucoup de contraintes et de paperasses pour peu de gains, si gains il y a d’ailleurs… Après on s’étonne que les français laissent leur épargne dans les produits réglementés tels que les livret A, LDD, etc… Pas de risque, pas d’immobilisation, pas d’impôts, pas de prélèvements sociaux, pas de déclarations et pas d’utilité pour l’économie !
Avec Paypal, les services fiscaux ont du faire un effort, c’était trop gros. Tout le monde a un Paypal. Mais bon le crowdlending, c’est marginal. Alors ils vont pas se casser la tête pour nous rendre la vie plus facile, déclarez 🙂
mricnetParticipant@jacquouille tu as raison, dans l’hypothèse où le dirigeant en affaire personnelle est assuré. Car en cas de décès ou d’invalidité de celui-ci, c’est l’entreprise au complet qui est par terre 🙁
Pour la SNC, je connais moins bien ce statut, mais j’imagine que le caractère collectif de l’entreprise rend les associés solidaires entre eux. Çà c’est parfait 🙂
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 8 years, 8 months par mricnet.
mricnetParticipant@etienne2803 toi aussi ? Effectivement, les conditions dans lesquelles ils ouvrent le compte premium ne sont pas clair. J’ai pourtant déclaré être prêt à injecter une somme rondelette sur 12 mois…
mricnetParticipant@samdit il est tout à fait possible d’exclure les projets d’entreprises individuelles ou de les sous-pondérer. Cette information est immédiatement accessible depuis societe.com avec le RCS. C’est juste une colonne de plus à prévoir dans la liste excel des projets.
mricnetParticipantVoici un dossier qui pourrait faire monter mon nombre de défaut : HAUTES ALPES ONLY, financement de 25 000 euros sur 48 mois à 8% sur Lendopolis. Voici l’essentiel du message de la plate-forme :
«L’entreprise n’a pas pu honorer son échéance de remboursement qui aurait dû vous être versé ce matin. Nous avons immédiatement tenté de joindre le dirigeant M. Donnat, sans succès.
Nous avons néanmoins réussi à contacter ses proches. M. Donnat est parti en voyage d’affaire à Madagascar en janvier pour développer son activité de tisanes. Cependant, ils restent sans nouvelle de lui depuis.La situation est exceptionnelle dans la mesure où personne n’arrive à le joindre. Nous réitérons bien entendu nos essais et restons en contact avec toute personne susceptible de nous donner de ses nouvelles afin de vous informer en temps réel de l’évolution de la situation.»
Avec 25 000 euros de prêt seulement, j’ai du mal à imaginer qu’ils oit parti sous les cocotiers ! Ceci étant dit, sans nouvelles depuis janvier cela commence à être inquiétant. Voici un bel exemple du risque que l’on prend avec une affaire personnelle commerçant, plutôt qu’avec une boîte structurée comprenant plusieurs collaborateurs. En cas d’absence du dirigeant seul maitre de son affaire, celle-ci s’arrête…
Je pense que je vais faire évoluer ma matrice pour inclure ce critère.
mricnetParticipant@oceane : vous demandez à ce qu’on fasse votre étude à votre place ?!
Je pense qu’en cherchant dans ce forum vous trouverez des réponses à un certain nombre de questions ou des liens vers des pages/sites qui vous donneront ces infos. Par ailleurs, une bonne recherche Google devrait aussi permettre de trouver beaucoup d’infos.
Enfin, dans l’hypothèse où vous arriveriez à susciter notre intérêt, vous pouvez créer votre questionnaire avec Google sheet et poster le lien ici pour qu’on aille répondre à une étude de marché correctement formalisée.
Mais, come on !, vous êtes en deuxième année d’études supérieures ce n’est plus l’heure de la becquée.
22 mars 2016 à 14 h 50 min en réponse à : Quelles sont vos techniques d’optimisation du taux ? #6217mricnetParticipantVoici quelques infos sur les paramètres de ma matrice. Par exemple, les plateformes. Le coef de pondération de base (donc moyen) est 1.00. C’est à dire que sur une base de prêt de 100 euros, sur une plateforme «moyenne» (avec un coef.1.00, donc), je prêterai 100 x 1.00 = 100 euros sur leurs projets.
Sur une plateforme telle qu’Unilend, j’ai décidé d’appliquer un coef. de 0.80 en raison de ses résultats assez mitigés sur les taux de défaut et les retards, tandis qu’avec Prexem j’applique un coef. de 1.20 compte tenu de la protection financière qu’ils apportent sur les projets.
Ainsi, pour un projet qui aurait les mêmes caractéristiques sur les autres critères (secteur d’activité, montant du prêt), je prêterai 120 euros chez Prexem et seulement 80 chez Unilend, soit 33% de moins.
Prenons pour 2ème exemple, les secteurs d’activités :
Vous pouvez prendre comme base de données les informations contenus dans des rapports économiques, tels que celui d’Ellisphère, tapez « Observatoire Ellisphere risques de défaut par secteur d’activité» le premier lien devrait être le bon. Ce baromètre a analysé la répartition des entreprises par classe de risque : très faible, faible, moyen , élevé et très élevé.
Sur cette base, je somme les risques faibles et très faibles de chaque activité que je relativise à la moyenne des activités. Si le secteur présente des risques + faibles que la moyenne, je sur-pondère, et inversement.
Exemple :
La moyenne toutes activités confondues s’élève à 41.50% d’entreprises en risques faibles et 13,00% en risque très faibles, soit 54.50% d’entreprises en risque faibles et très faibles.
L’imprimerie, par exemple, est à 36.10% de risques faibles et 5.90% très faibles, soit 42% au total. Les risques faibles/très faibles sont donc moins nombreux (donc les risques forts plus nombreux, vous me suivez ? 😀
J’applique la formule :
1.00 (coef. de base) * 0.42/0.545 = 0.77
Ainsi pour un prêt de base de 100 EUR, je n’en prêterai que 77 eur si l’entreprise est dans le secteur de l’imprimerie (et dans l’hypothèse où tous les indicateurs sont au vert par ailleurs, évidement)
A l’inverse, la Santé :
Risques faibles et très faibles = 85.70%
Donc 1.00 * 0.857 / 0.545 = 1.57 . Je prêterai donc 157 EUR à une entreprise de la santé.
Ou plus exactement en cumulant avec le coef. la pondération lié à la plateforme :
100 * 0.80 * 1.57 = 125.60 euros pour une entreprise de santé présentée par Unilend
100 * 1.20 * 1.57 = 188.40 euros pour une entreprise de santé présentée par Prexem
Ajoutez autant de coef. de pondération qu’il y a de critères pour lesquels vous pouvez obtenir des stats de risques (durée du prêt, prime de risque sur le taux…) et vous arriverez à composer une matrice décisionnelle assez objective.
Cette méthode ne permet pas en soi de dire oui ou non à un projet (quoique si comme sur certains projets on obtient 20 eur d’investissement pour une base 100, c’est un bon indicateur pour ne pas y aller !), mais cela permet d’optimiser ses chances de rendement.
Ce qui répond à la question «Quelles sont vos techniques d’optimisation du taux ?»
P.-S : les données sont vivantes. Aussi je les mets périodiquement à jour. Ainsi, ais-je remonté le coef. Finsquare le 26/08/2015 suite à la mise en place de l’assurance, abaissé celui de Lendosphère le 03/10/2015 en raison du fait que les projets sont concentrés sur les mêmes entreprises, etc…
mricnetParticipantPour optimiser son taux de rendement il est nécessaire de prêter à un taux relativement élevé, 6% me paraissant un minimum pour gagner un peu d’argent après IRPP et CSG-CRDS. Par ailleurs, il faut s’atteler à limiter le taux de défaut. Facile à dire, s’exclameront certains ! Effectivement, les dossiers de crowdlending étant plutôt risqués et les plateformes assez jeunes, c’est une belle inconnue.
Issu du monde de l’assurance, je sais que pour se rapprocher le plus près possible de la réalité statistique (dans le cas qui nous intéresse : le taux de défaut) il faut observer un grand nombre d’évènements. A ce jour, aucune plate-forme ne permet, à elle seule, d’obtenir une masse suffisamment importante de projets pour correctement mutualiser le risque. La solution est donc d’intervenir sur plusieurs plate-formes.
Pour gérer cette petite affaire, j’ai construit une matrice sur excel qui fonctionne comme un outil d’aide à la décision. Sur la base d’un montant moyen que l’on accepte de prêter (mettons 100EUR) et un taux d’intérêt cible (disons 7.5%), la matrice va sous-pondérer ou sur-pondérer le montant à investir selon de multiples critères, tels que :
– secteur d’activité de l’entreprise
– montant et durée du prêt
– taux du prêt
– scoring (et par voie de conséquence publication des bilans)
– la plate-forme qui présente le projet
J’ajoute à cela une analyse des éléments financiers et une appréciation subjective selon : les observations des contributeurs de ce forum, l’intervention d’institutionnels (tels que Groupama) et mon intime conviction. Finalement, je peux décider de ne pas aller sur un projet que mon outil met au vert ou inversement. L’idée est d’aller sur beaucoup de projets, mais de moins s’exposer sur les plus risqués (sous-pondérer) et de plus s’exposer sur les meilleurs (sur-pondérer).
Résultat après 18 mois :
– Intervention sur 9 plate-formes
– 447 projets analysées
– 288 investissements
– 3 défauts et 10 dossiers qui ont eu au moins un retard
– Taux annuel avant défaut 7.65%, 7.07% après défauts.
Motifs pour les projets sur lesquels je ne suis pas allé :
– 89 pour lesquels j’étais négatif
– 38 pour lesquels les taux étaient trop bas pour payer mon risque
– 23 pour lesquels la levée de fond0s a été trop rapide. Je n’ai pas eu le temps d’analyser et de me positionner.
– le reste : des échecs de levée de fonds, des renonciations d’emprunteurs, etc…
mricnetParticipantIntéressé d’en savoir + sur cette plateforme que j’ai regardé rapidement mais pour laquelle je n’ai pas compris quelle était leur valeur ajoutée…
mricnetParticipant@Wislvlerhill Tout à fait, et c’est assez inquiétant ce côté irrationnel de la foule. Peut-on parler d’effet mouton ?
Le taux de prêt sur le projet est bas ? donc, c’est que le projet doit être bon ? Donc j’enchéris à la baisse sur le taux, puisque je penses (et non pas je sais) que c’est une bonne affaire… Pourtant à 8% ou à 3% le projet est le même, et le risque également.
Mais les particuliers ne sont pas des professionnels…
mricnetParticipantJe suis d’Accord avec @Sylvain, l’éolien (comme l’immobilier d’ailleurs) est gros consommateur de capitaux pour atteindre la taille critique. Les investissements sont lourds, les durées d’amortissement longues, les taux de capitalisation faibles, mais les modèles sont robustes.
J’ai noté les scoring des entreprises à l’époque du lancement de leurs projets et si je compare avec ceux d’aujourd’hui, nous avons :
Améliorations pour : Innovent, VOLKSWIND (assez spectaculaire d’ailleurs)
Légère dégradation ou stable pour : VALOREM, ABO WIND
Pour Nucléosir, c’est ambigu car le risque de défaillance (Conan & Holder) à chuté fortement, mais la note Pouey s’est dégradée…
Cela ne veut pas dire que l’on ne va pas avoir de défaillance, mais monter des business d’éoliennes, vu les capitaux en jeu, cela demande un peu plus de surface que de monter un e-commerce. On a peu de risque d’avoir un dirigeant qui prenne un prêt à la sauvette.
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 8 years, 8 months par mricnet.
mricnetParticipantSur la page de projets Lendopolis https://www.lendopolis.com/search répertorie les collectes réussies, comme les non abouties. Celui de Iéna N’apparait pas car ce projet a tout simplement été retiré, et j’ai bien noté qu’il s’agissait d’une renonciation de l’emprunteur, tout comme d’ailleurs :
PREXEM : Groupe Z
LENDOPOLIS : IENA CONSULTINGFINSQUARE : Actea consulting
FINSQUARE : AROLLA
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 8 years, 8 months par mricnet.
14 mars 2016 à 19 h 05 min en réponse à : Quelles sont vos techniques d’optimisation du taux ? #6090mricnetParticipantDes exemples récents sur la corrélation durée de la levée de fonds / taux d’intérêt :
Sur Finsquare, Nourisson et PTCM, 2 entreprises dans le bâtiments (même si Nourisson fait de la Géométrie…) : 3,01% pour le premier, le second est à 3,98% et il reste encore 8 jours d’enchères inversées ! Pour une boîte qui voit son chiffres d’affaires baisser alors qu’elle ne fait que 200K… c’est cadeau 🙂
mricnetParticipantSecteur d’activité Agriculture (même si on pourrait considérer que pour ce projet, c’est du tourisme), ferme familiale Le Vazereau (Siren : 347 851 875) depuis 1988, prêt de 36 mois, protection Prexem : moi j’y vais.
mricnetParticipantLes particuliers sont irrationnels, les offres à taux variables ne sont absolument pas représentatives de la qualité du risque du dossier mais uniquement de la confrontation de l’offre et de la demande. D’ailleurs les plateformes Unilend et Finsquare l’ont bien compris, pour faire baisser les taux, elles ont juste besoin d’allonge la durée des enchères !
Là où l’on peut éventuellement considérer que le système d’enchère peut faire un certain filtre, c’est que le chef d’entreprise prend également un risque d’avoir un prêt à taux élevé. Quelle entreprise saine prendrai le risque d’avoir un prêt à 9% alors qu’elle peut probablement obtenir 3x moins cher avec une banque ?
1- elle n’a pas le choix (c’est donc généralement mauvais signe),
2- elle se sert du Crowdlending pour challenger sa banque (voir http://www.crowdlending.fr/forums/sujet/iena-consulting-483520813-2eme-round/)
3- elle espère obtenir un taux compétitif. Sur ce point on peut même imaginer que la plate-forme «promet» un taux bas en jouant sur les paramètres d’enchères (taux mixte, allongement du délai d’enchères,etc…)
mricnetParticipantJe suis prêteur pour faire des affaires et je n’aime pas perdre mon temps. Alors on ne me fait courir qu’une fois.
Cette entreprise fera sans moi pour trouver son argent ou simplement faire baisser le prix de son banquier… à moins que IENA Consulting soit prête à nous rémunérer pour notre service de cost killing !
mricnetParticipantJe rejoins ton analyse @etienne2803 , j’ai eu également l’occasion d’avoir un appel de Christophe Puyo il y a quelques mois alors que je voulais changer mon email de connexion et ils ont une démarche très professionnelle, attentifs à la sécurité et l’intégrité des données.
Cela ne m’étonne pas que tu ai eu également cette bonne impression. Encourageons-les à continuer de cette manière !
P.-S : dommage que, faisant partie des pionniers sur leur plateforme, je n’ai pas eu le droit à un petit cadeau de bienvenue. snif !
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