Sujets sur les Forums
-
AuteurArticles
-
23 novembre 2018 à 15 h 52 min en réponse à : Bienpreter.com : Qu'en pensez ? Vos avis sont les bienvenus #18180PascalParticipant
Je pense que c’est un produit qui devrait plaire aux entreprises surtout si les mises en place et le suivi sont facilités par rapport aux systèmes d’affacturage bancaire.
On peut cependant se poser la question du remboursement mensuel.
Si on suit la présentation
3.Une fois le projet financé, l’entreprise perçoit la somme demandée sous forme de prêt avec intérêts puis rembourse mensuellement ses investisseurs.
4.L’entreprise (qui avait accordée un délai de paiement à son client) perçoit le règlement de sa créance. Celle-ci procède au remboursement du capital restant dû à l’ensemble des investisseurs du projet.L’entreprise doit rembourser les investisseurs sans avoir été payé par son client donc on est n’est pas tout à fait dans de l’affacturage. Cette solution ne devrait pas convenir à des entreprises qui ont des problèmes de financement du poste clients (car quoi que l’on en dise cela revient bien à cela). Ensuite si on résume nous avons un prêt remboursable par anticipation sans pénalités.
La présentation d’une facture, bon de commande ou autre ne reste, pour moi, qu’un habile maquillage.
Maintenant il faut savoir qui est derrière cette nouvelle plateforme et qui nous garanti sa survie à moyen terme
Des durées courtes pourraient m’intéresser pour remplacer Unilend.
22 novembre 2018 à 16 h 00 min en réponse à : "Grandir Ensemble" sur October : 11 grands groupes vont emprunter 100 000 € #18156PascalParticipantVa sur Wiseed à partir de 100 euros mais avec 0.9% de frais par projet
ou chez Clubfunding à partir de 500 euros mais taux non capitalisé et sans frais d’entrée (site informatique vraiment pas au top)
17 novembre 2018 à 18 h 07 min en réponse à : "Grandir Ensemble" sur October : 11 grands groupes vont emprunter 100 000 € #18120PascalParticipantOui mais présenter comme cela s’est tout simplement tromper les lecteurs
Toutes les critiques sont instructives à partie du moment ou elles s’appuient sur des données exactes et non approximatives
17 novembre 2018 à 16 h 33 min en réponse à : "Grandir Ensemble" sur October : 11 grands groupes vont emprunter 100 000 € #18118PascalParticipantVous comparez ce qui n’est pas comparable.
En effet sur un livret le capital est bloqué sur toute la période alors que dans le crowdlending il est remboursé au fur et à mesure des remboursements.
Pour comparer ce qui est comparable il faut replacer au même taux le capital rembourséPascalParticipant2.50% moins les 30% de flat taxe fait 1.75% plus du double du livret A
Cela vaut le coup
PascalParticipantSi ton TRI passe de 6.30 à 1.47% avec seulement 1 défaut de plus c’est que ce projet était sur-représenté dans ton portefeuille ou que tu avais un portefeuille trop petit.
C’est pour cela que je répète qu’il est important que tous les projets aient environ le même poids dans un portefeuille et qu’il faut environ une centaine de projets minimum, ce qu’on peut faire en 6-9 mois.
Par exemple en ce qui me concerne si mon plus gros projet faisait défaut l’impact ne serait que de 0.5% sur ma rentabilité. Pour info j’ai investi dans 289 projets
PascalParticipantPascalParticipantJ’ai aussi loupé le projet La Villa Monadey et le Domaine de la Plaine
Je ne suis pas emballé par Le Domaine de Poseidon et je me limite à 24 mois donc je n’ai pas regardé Nantes Porterie
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 6 years par Pascal.
PascalParticipantPierre
Aucun intérêt pour la banque car elle a un intérêt à ce que Fundimo lui trouve de nouveaux clients.
Le deal est gagnant-gagnant chacun apporte de nouveaux clients à l’autre.
6 novembre 2018 à 12 h 00 min en réponse à : UFC Que Choisir interpelle à nouveau les pouvoirs publics sur le crowdlending #17996PascalParticipantje crois que l’on se trompe de sujet.
Bien sûr il est important de connaitre un taux de défaut mais si on connais la température est on guéri pour autant?
En plus ce ne sont que des statistiques donc qui ne donnent que des tendancesNon, pour moi, l’important c’est de protéger l’investisseur c’est à dire de ne plus tolérer les magouilleurs, les escrocs et pour cela mettre en place une véritable politique répressive contre les mauvais payeurs, les fausses informations,…
Et pour les plateformes, interdire les commissions à la mise en place, les obliger à rembourser les préteurs s’il y a un défaut sur les 6 premiers mois (après on rentre dans le cycle des affaires) sauf si l’événement est imprévu comme le défaut de son principal client. Mais même dans ce cas la la plateforme aurait du signaler le danger que représente l’importance du client principal .
Autre chose, est il normal qu’au mois de novembre on est pas d’indication sur le résultat d’une société qui clôture en septembre. Pas des résultats définitifs bien sûr mais des tendances. Si l’entreprise n’est pas capable de les donner c’est qu’il y a un gros problème de gestion donc un danger potentiel.
Voila des mesures qui, à mon avis, seraient vraiment efficaces
PascalParticipantPierre ce n’est pas tout à fait cela. Fundimo se positionne comme un complément des FP que doit de toute façon apporter le promoteur pour pouvoir bénéficier d’un prêt bancaire.
Le promoteur doit apporter environ 30% de FP pour que la banque fasse le prêt.
Donc le partenariat entre BTP Banque et la plateforme consiste pour la banque à suggérer à ses clients de financer les FP par une opération de crowdfunding et pour Fundimmo de placer la banque comme financeur de ses clients.Je rappelle qu’auparavant le promoteur faisait appel à des investisseurs professionnels en partageant le capital de la société intermédiaire. Au dé-bouclement du projet la marge était répartie au prorata du pourcentage détenu dans la société ce qui revenait à rémunérer les investisseurs bien souvent au dessus de 20%.
Avec le crowdfinding immo le financement participatif remplace les investisseurs. C’est pour cela d’ailleurs que l’on a des taux autour de 9%.PascalParticipantIl faut se remettre dans le contexte de l’époque la crise de 2008 et une économie mondiale qui stagne et n’arrive pas à repartir. Tout cela avec des contraintes de liquidités plus forte sur le monde bancaire pour éviter tant que faire se peut une nouvelle crise. De fait on était dans une grave crise de liquidité mondiale.
Les banques centrales baissent les taux pour réinjecter des liquidités et soutenir l’économie.
Cela a plutôt bien fonctionné avec une reprise générale, même si elle est moins forte qu’après les précédentes crises financières. Par contre une désinflation s’est installée qui aurait pu être très nocive.
Cette politique n’est pas sans risque avec Le risque d’un excès de liquidité créant une sur-inflation et la création de bulles.
Aujourd’hui les banques centrales diminue leur bilan pour éviter une surchauffe tout en essayant de faire monter l’inflation autour de 2%.
L’avenir nous dira si elle vont réussir dans cet exercice délicat qui n’avait jamais été fait auparavant.
Ce que l’on peut dire aujourd’hui c’est que la FED a réussi à fortement remonté ses taux sans casser la reprise et a fait remonter l’inflation autour des fameux 2%
En résumé pour la FED forte baisse entre octobre 2007 et décembre 2008 pour arrivé à 0% (de 4.75% à 0%). Le taux reste à 0% pendant presque 6 ans (fin 2015) et remonter progressive depuis.
La BCE diminue le montant des actifs qu’elle achète tous les mois. C’est la fin de sa politique appelée ultra-accommodante.
On peut penser qu’à l’instar de la FED la BCE va commencer à relever ses taux courant 2019 pour revenir à une situation ante-crise et se mettre en position à réagir à la survenance d’une prochaine crise qui est malheureusement inhérente au système.
Mais la dessus il y aurait beaucoup à dire en commençant par les leçons non retenues des crises précédentes comme par exemple les bonus des traders qui ont retrouvés le niveau d’avant crise ce qui incite à la prise de risque et à la spéculation sans frein. Si tout le reste est factuel ce dernier paragraphe ne représente que mon avis.
PascalParticipantD’accord avec ton analyse.
les dossiers d’analyse me paraissent complets et les projets intéressants.En ce qui me concerne je débute chez eux et j’ai investi sur le projet Le Zash après avoir manqué plusieurs projets qui sont partis très vite.
J’étudie le projet La Villa Monadey qui me parait intéressant
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 6 years par Pascal.
PascalParticipantLe financement participatif c’est un peu comme une SCPI de rendement, c’est à dire que tu investi dans une société (SAS chez Homunity), dont l’objet sera d’acquérir et d’exploiter l’immeuble. Dans le cas d’Homunity il sera fait appel à un cabinet spécialisé pour la location et le suivi.
Une sortie des investisseurs est envisageable à deux niveaux chez Homunity :
-cession des actions détenues par les associés de la société à un tiers (mais pas de cotation officielle)
-cession de l’immeuble à un tiers par la société de projet (après vote des associés)
Il est à noter que toutes les décisions importantes seront soumis aux votes des associés comme par exemple les grosses réparations.
Dans le cas d’Homunity les bénéfices de l’année N seront redistribués en année N+1
Au niveau de la SAS, le résultat courant permettant d’estimer la distribution possible d’un dividende pour l’année N+1 est égal aux revenus locatifs moins les frais d’entretiens moins les amortissements moins les impôts de la SAS.
Le prix de la part est de 5000 euros.
PascalParticipantEn ce qui me concerne je continue le crowdlending, que j’ai commencé depuis plus de 3 ans, en réinvestissant mes remboursements et en privilégiant (je pense qu’elles sont viables) Lendix, credit.fr et Lendopolis.
J’ai arrêté d’investir il y a presque 1 an car j’étais arrivé à mon objectif de placement dans ce domaine.En immo, après un premier essai en mars 2015 avec un remboursement effectué en décembre 2016 j’ai commencé sérieusement à me diversifier à partir de mars 2017. Je suis sur Wiseed, Fundimmo, Clubfunding et Lymo.
En immo aussi j’ai atteint mon objectif de placement et j’arrive maintenant au renouvellement de mes investissements
Sur 2018 j’ai 6 remboursements effectués, sur 2019 il est prévu 28 remboursements, en 2019 une dizaine, 3 en 2020 et 1 en 2021.J’ai investi 3 fois plus en immo qu’en prêts
PascalParticipantComme je l’ai dit pas de préparation, on a découvert le changement de nom grâce à ce blog.
Et quand (toujours grâce à Mathieu) on a « basculé » sur le soi-disant nouveau site en fait on s’est retrouvé sur l’ancien. Bref un sentiment étrange et inquiétant. Voila le pourquoi de ma réaction.
Dans ma vie professionnelle j’ai plusieurs fois travaillé pour des sociétés qui ont, soit changé de nom, soit tout simplement de logo, mais à chaque fois on a essayé de faire de ce changement un moment de partage avec nos clients et prospects en profitant de ces instants pour faire passer des messages, donner des nouvelles de nos projets, bref communiquer ce qui n’a pas été le cas pour vous.
Et puis ce nom ressemble plus à un gag qu’à une chose sérieuse. Octobre c’est le mois de » l’automne » avec les premiers brouillards, la pluies, le froid, le premier mois de l’hiver, bref pour moi le mois le pire de l’année.
De plus octobre c’est le mois de la crise de 29 mais aussi la panique bancaire américaine de 1907 et la crise de l’automobile de la même année, le krach d’octobre 1987 et j’en oublie certainement.
Donc pas convaincu par ce changement de nom et par la manière de l’avoir fait
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 6 years par Pascal.
PascalParticipantUn truc fait à la va vite. En effet on est renvoyé sur l’ancienne page de Lendix.
En principe quand on change de nom on organise une cérémonie on explique le pourquoi et on en profite pour faire passer des messages.
Ici c’est en catimini,presque en secret. Si Mathieu ne nous l’avait pas dit on n’en serait rien
Je me pose beaucoup de questions comme l’abandon du marché français et le déménagement des équipes de direction dans un autre pays.
D’ailleurs il n’y a aucune communication sur l’implantation en Allemagne et au pays bas alors que sur la nouvelle page on a l’impression que c’est déjà fait21 octobre 2018 à 16 h 16 min en réponse à : October limite à 100 € les prêts pour les projets en dessous de 250 000 € #17807PascalParticipantAvec la mise sur le site 48 heures à l’avance.
Plutôt intéressant cette initiative même si nous ne sommes pas prévenus de la mise sur le site d’un nouveau projet.
En laissant 48 heures il suffit d’aller sur le site une fois par jour pour avoir le temps d’étudier le projet.
21 octobre 2018 à 16 h 11 min en réponse à : Une plateforme qui ne financerait que des TPE fiables peut-elle survivre ? #17806PascalParticipant@gerard Exact en crowdfunding immobilier on apporte des FP par projet. Ces FP sont effectivement demandés par les banques.
Mais attention à la survenue d’une crise immobilière qui viendrait plomber les projets avec des chantiers qui deviendraient non rentables et par conséquent les promoteurs seraient dans l’incapacité de rembourser les apports en FP.
PascalParticipant@Pullman Il ne faut pas comparer les taux d’emprunts aux entreprises et ceux de l’immobilier.
Pour faire simple, dans l’immobilier les promoteurs doivent mettre un certain pourcentage de fonds propres dans chaque projet et les banques complètent.
Pour leur apport en fonds propres les promoteurs font appel à des investisseurs qui investissent dans les sociétés intermédiaires et donc touchent une partie de la marge dégagée par le projet.
En remplaçant ses investisseurs par le crowdfunding (qui est une autre population d’investisseurs) les promoteurs conservent la totalité de la marge des projets et donc sont plus enclin à proposer des taux élevés.
Mais attention au fur et à mesure ou le crowdfunding immobilier va se développer les taux vont baisser car il est en train de s’installer une concurrence entre les plateformes ce qui va profiter aux promoteurs qui vont faire jouer la concurrence.
Par contre je suis entièrement d’accord avec toi quand tu dis que le problème d’Unilend est la recherche d’entreprises emprunteuses (voir les stats mensuelles de Mathieu) de bonnes qualités qui peuvent se financer à des taux très bas en ce moment.
Ce problème d’ailleurs qui doit se poser à toutes les plateformes qui travaillent en France ou les taux d’emprunts bancaires sont beaucoup plus faibles que chez nos voisins.
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 6 years, 1 months par Pascal.
PascalParticipant@BZH35 La gestion des plateformes est importante, en effet si tu n’a qu’une plateforme et qu’elle fait faillite tu multiplie ton risque d’incident, car il ne faut pas se leurrer bon nombres de préteurs vont arrêter de rembourser sachant que le recouvrement va au mieux terriblement s’alléger, au pire cesser.
Celui qui n’avait qu’Unilend, c’est à dire 100% de son investissement en crowdlending (et si la faillite sans reprise se confirme) n’aura que ses yeux pour pleurer.
Si tu as investis dans 2 plateforme (ou plus) le pourcentage de ton investissement pris dans cette galère est mathématiquement plus faible.
En plus de cette répartition il y a le choix des plateformes, certaines présentant un actionnariat plus rassurant que d’autres, sans que cela soit une garantie.
Quand tu fais un cahier des limites pour gérer les risques d’une entreprise qui place, tu mets en place des limites :
– sur l’actif que tu achètes (en % de l’actif et des montants que tu places)
– sur le dépositaire (souvent la banque qui gère le placement).
Bien sûr nous n’avons pas les mêmes montants à placer et en plus les placements bancaires sont garantis jusqu’à 100K€ pour les particuliers. Cependant avec des intermédiaires comme les plateformes la problématique change car nous avons alors un vrai risque de défaillance d’un intermédiaire.
PascalParticipantCe serait un véritable cataclysme mais à vrai dire pas vraiment étonnant. la suffisance sur les médias de Nicolas Lesur puis sa discrétion depuis quelques temps m’avait interrogé.
En ce qui me concerne il me reste une centaine d’euros sur 18 projets encore en vie pour faire une opération blanche (montant récupéré = montant viré à la plateforme). Mon dernier investissement date de mai 2016 et depuis je récupère tous mes remboursements pour les mettre sur d’autres plateformes.
y aura t’il un repreneur?
Cela nous rappelle qu’il convient de gérer son risque de plateforme au même titre que son risque projets.
PascalParticipantLe risque n’est pas sur le montant du projet mais sur ce que tu investis. Les investisseurs ne choisissent pas c’est une obligation de prendre 50% du montant et de compléter si les particuliers ne prennent pas les 50% restant donc il n’y a pas de décision de % des investisseurs. La seule intervention qu’ils font est de participer avec Lendix aux choix des projets.
Maintenant tu fais, bien sûr, comme tu veux c’est simplement un avis d’une personne qui baigne depuis près de 40 ans dans le milieu de la finance et de la gestion des risques.
PascalParticipantje ne suis pas d’accord avec @psycoke car miser en % peut amener à prendre énormément de risques pour un investisseurs particulier. L’écart type des placements devient important et mathématiquement la prise de risque augmente.
Par exemple si le pourcentage défini te fais investir 400 euros dans un projet et 40 euros dans un autre, si c’est celui à 400 euros qui se termine mal ta perte est 10 fois plus importante qu’avec le projet à 40 euros.
Le raisonnement en % est valable sur des montants à placer très importants permettant de limiter statistiquement la perte par un effet volume hors de porté d’un investisseur lambda.
- Cette réponse a été modifiée le Il y a 6 years, 1 months par Pascal.
PascalParticipantBonjour
Cela fait 3 ans (15/05/2015) que je fais du Crowdlending et pour ma part j’ai, tout comme toi, commencé avec de petits montants sur un grand nombre de projets. J’avais au départ une certaine somme à investir dans ce type de placements et mon objectif premier était d’avoir 100 projets avant éventuellement d’augmenter un peu ma mise.Mon but premier n’est pas le rendement mais étant par ma profession très sensible à la problématique du financement des petites et moyennes entreprises j’ai trouvé dans le crowlending un moyen de financement pour mes clients et je voulais participer activement au développement de ce créneau.
Aujourd’hui j’ai atteint le montant que je voulais mettre (5% de mon patrimoine financier) et je ne fais que réinvestir mes remboursements. J’ai effectué 282 prêts depuis 3 ans.
En ce qui concerne l’argent qui, soi-disant, dort. Il ne faut surtout pas en faire un motif d’investissement car avec des taux sans risque, en dessous de 1%, 100€ sur 1 an rapporte 1€ donc ridicule (sur 1 jour environ 0.2 centimes et sur 1 mois 8 centimes). Tout cela comparé aux risques supplémentaires que cela nous fait prendre rend la réponse à ta question évidente. Le plus important est de bien sélectionner les projets (ce qui n’enlève pas le risque mais le diminue).
Sans être la panacée la matrice de HS1 me parait donner de bon résultat et à au moins l’énorme avantage de poser des bases récurrentes de choix. A nous ensuite à veiller qu’il n’y ait pas un basculement de marché qui ferait que les variables de cette matrice ne soient plus adaptées, mais cette communauté veille. En ce qui me concerne je suis très attentif à la liquidité de l’entreprise sachant que plus de 70% des redressements sont dues à un manque de liquidité de l’entreprise (déformation professionnelle).
En ce qui concerne les plateformes je te conseille peut-être d’aller sur 1 ou 2 autres plateformes supplémentaires pour diversifier, ce qu’on appelle le risque de contrepartie car une plateforme peu faire faillite.
Je ne te donnerai pas de conseil sur le choix des plateformes car il n’y en a pas de parfaites mais les deux plus solides financièrement (actionnaires et soutiens) sont Lendix et credit.fr.
En ce qui me concerne j’ai commencé sur Unilend il y a 3 ans puis je suis allé sur Lendix, Credit.fr, Prexem (pour son fonds de protection), PretUp (par régionalisme) et Lendopolis. Bien sûr je peux également te parrainer comme tout le monde ici.
Toutes ces plateformes sont accessibles à partir de 20 eurosPour finir je me suis diversifié dans le crowdlending immobiler chez Wiseed, Lymo, Clubfunding et Fundimmo mais pour ce type d’investissements les montants sont plus importants.
100 euros pour Wiseed, 500 euros pour Clubfunding et 1000 euros pour Lymo et Fundimmo.Je fais enfin du crowdfending (prise de participation en capital) sur Wiseed.
Pour terminer j’insiste sur le fait que l’argent que tu investis dans ce type de placements à risque doit être de l’argent dont tu n’as absolument pas besoins.
J’espère t’avoir un peu éclairé.
PascalParticipantJe suis sur Wiseed (37 projets immobiliers dont 4 terminés) mais suite à la mise en place de frais, à mon avis, non justifiés (aucune améliorations voir une dégradation du service) je viens de diversifier mon portefeuille en souscrivant chez Lymo (2 projets) et Clubfunding (1 projet).
J’ai regardé Upstone mais je n’ai pas confiance et pas assez de projets lancés, anaxago semble avoir des frais et beaucoup de projets en retard (cf la plateforme hellocrowdfunding.com).
Je pensais également à Homunity mais ils prennent des frais (9 euros) quand on paie en CB qui est mon moyen de paiement. Donc je ne vais pas chez eux.
J’ai 2 projets immobiliers chez Lendix et 1 chez Lendopolis
Je vais regardé Fundimmo qui a lancé 50 projets (mon seuil minimum hors Lymo qui est également promoteur) sans défaut ni retard.
7 septembre 2018 à 9 h 54 min en réponse à : Quelles sont les principales causes de défaut par plateforme ? #16546PascalParticipantMerci pour ces stats très intéressante et particulièrement révélatrice.
Cette approche me plait énormément et,à mon avis, reflète bien les points forts et faibles des plateformes.PascalParticipantOn n’a pas une rémunération importante sans prise de risque.
Ceux qui l’oublie auront des désagréables surprises.PascalParticipantPas d’accord chez Wiseed et Lymo (ceux que je connais) les projets de montants approchant partent aussi très vite, parfois en moins de 5 minutes.
De plus avec une mise minimum de 2000 euros il faut peu de préteurs pour arriver à solder un projet
PascalParticipantEffectivement très étrange. J’avoue ne pas avoir d’explication mais il y a tellement d’autres projets que si je pouvais y aller je m’abstiendrai.
-
AuteurArticles